Dibal : rêves lucides - 2

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Nuit du 29/11/2000 au 30/11/2000. Rappel : moyen. Réveil à 8h30.
Après mčêtre recouché, je sors de mon corps en roulant sur le côté. Je décide dčaller faire un tour sous le matelas faire coucou au démon, je le trouve de suite et jčengage une conversation. En fait, il mčexplique qučil ne me veut pas de mal, qučil ne veut que mčaider. Il me dit que la première fois que jčai été le voir, il ne me voulait vraiment que du bien et qučil nčavait pas compris pourquoi je lčavais fui. Il me donne des tas de conseils intéressants [encore oubliésŠ], qučil est une sorte de barrière entre lčinconscient collectif et moi, qučil est mon guide.
Puis je ressors de sous le matelas (endroit toujours noir et sans vision), et je me retrouve dans ma chambre chez mes parents. Je décide dčaller méditer un coup sur mon lit, mais en arrivant devant [je sais plus dčoù je suis ressorti, mais cčétait pas de dessous le lit] je mčaperçois qučil y a plein de saloperies dessus : branches dčarbres, des araignées et mêmes des chats. Le temps que je nettoie tout ça (ça faisait dégueulasse), je me réveille.
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Out le démon du matelas, il est maté. Cool.
Ca faisait longtemps (environ 2 mois) que je nčai plus été dans lčétat intermédiaire, et je trouve ça rigolo de lčavoir retrouvé dans un tel état de délabrement.


petit rêve lucide. Nuit du 18/12/2000 au 19/12/2000
Je suis assis à table, seul, chez ma grand-mère. Je suis en train de jouer
au playmobyl. Soudain, le doute m'assaille : "Mais qu'est-ce que je fous à
jouer au Playmobyl alors que je suis en train de rêver?" [Je jouais depuis
un petit moment...] Je me lève, effectie une petite lévitation histoire
d'être sûr, et avance jusqu'à la fenêtre. Là, juste avant le saut rituel par
cette fenêtre, je me dis : "Tiens, je vais essayer un petit transfert de
conscience!" [Alleluia! Miracle! J'y ai pensé!!]
Je saute donc par la fenêtre, et atterit devant l'éboueur et le balayeur. Me
rappelant que la Flo m'a conseillé de ne pas en faire avec des gens
ordinaires, ou le cas échéant de les fusionner, je leur dit :
"Bon, les gars, je peux vous fusionner?
- Pour quoi faire?
- Ben un transfert de conscience!
- C'est quoi un transfert de conscience?
- C'est moi qui prend votre place et vous la mienne.
- Mais on est deux...
- C'est pour ça qu'il faut que je vous fusionne!
- Ben ouais, mais non, parce que sinon on pourra plus faire not' boulot...
- Bon, laissez tomber..."
Je me dis que quand même, elle a du bol Flo d'avoir des personnages de rêves
obéissants.
Là, au loin, j'aperçois mon chef de service. Je me dis qu'il est p'tet un
peu moins polio que les 2 autres, et m'en vais à sa rencontre.
"Salut Jacques! Un petit transfert de conscience?
- Ah oui, si tu veux. C'est quoi?
- On se colle nos fronts, comme ça (je le fais), et on échange nos
conscience.
- Ah oui, c'est bien, mais je ne comprends pas. On est censé faire quoi, là?
Non, parce qu'on a l'air un peu cons comme ça, dans la rue... Pourquoi tu ne
dis plus rien? Ho? Tu m'entends?"
Il arrêtait pas de parler, et à force, d'exaspération, ça m'a réveillé.

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J'ai trouvé ce rêve très drôle, car il est clairement induit par le petit
rêve lucide qu'à poster Flo lundi. :-))

Nuit du 21 au 22 janvier 2000. Rappel : excellent. A l'endormissement.
Je viens de me coucher, sexuellement repu et assez fatigué (sûrement par la
sieste faite l'après-midi jusque 18h30). Je ne tarde pas à m'endormir, en
respiration consciente. Je sens venir cette variation de conscience
annonciatrice de l'endormissement, qui se caractérise dans la journée par un
méchant piquage de nez. Etant dans mon lit, allongé sur le ventre avec mon bras
droit qui pend lamentablement du lit, mon bras gauche replié sous mes seins et
ma tête reposant sur ma joue gauche, je laisse le piquage de nez m'envahir.
Disparition habituelle des sons, sensations d'enfoncement en soi, vagues
lumières au loin, là-bas, à l'infini.
Au bout de très peu de temps (subjectivement quelques secondes), je décide que
je peux sortir, et je me rappelle que je suis sur le ventre. Mon corps
énergétique est aussi apparemment dans cette position, mais je pense pouvoir
réussir à me lever quand même. Je ramène mon bras droit sous moi, puis je
pousse. Je sens comme un poids énorme sur mon dos, et je me dis : "Ben oui,
c'est AC [ma copine qui dort à côté de moi]! Cool, je vais essayer de la sortir
avec moi!". Je pousse donc très fort, mais malheureusement je n'arrive pas à
décoller. Je décide donc de sortir seule, et je pousse doucement AC (enfin ce
que j'imagine être son corps énergétique) sur le côté gauche, puis je roule sur
le côté droit. J'atteris alors par terre, je suis sorti.
Je me relève, il fait tout noir. Je distingue très vaguement le lit, mais après
vérification tactile ni AC ni moi ne nous y trouvons. Tant pis. Je vais
regarder à la fenêtre, pas de volets, pas de rideaux, une simple vitre mais
derrière il fait nuit noire. Je décide d'attendre, mais je ne sais pas quoi
faire. Je n'ai pas envie de retourner voir le démon du matelas (va encore me
sermonner), je décide donc de méditer. Je m'asseois sur le lit en position du
lotus, en forçant à peine sur mes jambes [je n'arrive pas à la prendre avec mon
corps physique] j'y arrive. Là, sans y avoir pensé, je me mets à
réciter "Om"... Je trouve que c'est une bonne idée, et je continue. Mais je
dois être un peu enroué, parce que bon, hum, mon "Om" n'est pas du tout dans le
bon ton, et impossible d'en produire un correct. J'en récite quand même
beaucoup (j'ai pas compté, mais une bonne centaine au moins) avant de
m'apercevoir que la sensation de mon corps a disparu (j'avais fermé les yeux).
En essayant de la retrouver, je me trompe et retrouve mes sensations physiques.
J'ai alors l'impression d'être dans une sorte de "sarcophage" : mon corps
physique me paraît énorme autour de moi, comme si ma conscience était au centre
de mon ventre. Peu à peu, les sensations physiques "normales" reviennent et je
note aussitôt mentalement ma position (identique à celle de l'endormissement)
et mes souvenirs.

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Je ne savais pas vraiment quoi faire dans cet état de non-rêve, où il fait très
noir mais où la peur est absente. Ce n'est pas l'état intermédiaire habituel où
j'arrive à distinguer plus de choses. C'est comme si c'était plus profond (en
sommeil), sauf que je ne devrais pas être alors autant conscient.
J'ai pas regardé l'heure de mon réveil, faudra que j'y pense la prochaine fois
pour voir combien de temps l'expèrience a duré.
AC [ma copine] n'est pas une habituée, loin de là, de ces pseudos sorties hors-
du-corps. Pourtant, un jour, elle en a fait une. Je me demande, même si je ne
m'en souviens pas, si je ne l'avais pas alors aidée de la manière consciente
que j'ai essayée aujourd'hui. C'est la première fois que je la "sens" AVANT de
sortir. De plus, en ce moment je m'entraîne -à l'état de veille- à "sentir" les
choses environnantes de la même façon que je les sens en rêve quand j'utilise
la télékinésie, la télépathie,... Et, même si je n'y ai pas pensé sur le coup,
ce que j'avais sur le dos et que j'ai identifié comme AC ressemblait à la
représentation d'AC que je "sens" ainsi.


Nuit du 15/04/2001 au 16/04/2001. Dans la nuit. Rappel : excellent.
Je suis dans un rêve non-lucide avec AC. Je me réveille [faux-réveil], et là je me dis que je dois essayer de me rendormir consciemment. Je ne bouge donc pas dčun poil, mais AC nčarrête pas de me parler. Elle me dit que je ne pense pas, mais que même si jčessaye de mčendormir je pourrais lui répondre. Je lui dis que jčessaye dčatteindre un état de non-pensée, enfin même pas tout à fait ça, plutôt un état de « perception intérieure globale » (ou un truc comme ça). Du coup, jčouvre les yeux et je contemple une table avec des tas dčobjets (plantes,Š) posés dessus, sur la gauche [cette table nčexiste pas dans la réalité]. Jčexplique lčétat que je veux obtenir à AC, puis je me rendors.
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Un faux-réveil rigolo dans lčétat intermédiaire.

Nuit du 17/04/2001 au 18/04/2001. Dans la nuit. Rappel : excellent.
Je suis dans un rêve semi-lucide de poursuite. Je crois que ma seule et unique façon de semer mes poursuivants est de sauter par une fenêtre, je saute donc. Cčétait le jour avant, maintenant cčest la nuit. Je me retrouve au-dessus dčune ville, je sais que cčest Troyes. Je me dis que je vais mčincarner dans un humain pour les semer. Je mčincarne (pas dčimages, cčétait conceptuel).
Je me retrouve dans un corps, allongé dans un lit. Jčouvre les yeux [état intermédiaire], je me retrouve chez moi [le vrai, enfin le duplicata du vrai]. Par contre, mon corps est paralysé. Je crois que si je le bouge je vais me réveiller [et surtout je me suis laissé piégé par la peur dčavoir mal en mčextirpant de ma carcasse]. Par contre, puisque jčai les yeux ouverts, je me dis que je peux observer. Je remarque alors la grosse plante qučil y a au-dessus de moi. Elle ressemble à lčarbuste qučil y avait chez mes parents quand jčétais petit. Je me dis que cčest normal, que cčest bon dčavoir une plante pour absorber le CO2 la nuit. Je la regarde avec tendresse, et je remarque que ses fueilles bruissent comme sčil y avait du vent. Je me rendors avec une impression de bien-être cool.
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La plante était immense (au moins deux mètres), et juste au-dessus du lit. Etrange, ça mča fait pensé (au réveil) aux êtres inorganiques de Castaneda.
Cčest la 2e fois en trois jours que mon état intermédiaire est hanté par des objets/plantes inexistants.

Nuit du 22/04/2001 au 23/04/2001. Endormissement + dans la nuit. Rappel :
excellent. Couché à 0h30, réveillé à 3h12. AB.
Etat intermédiaire 1.
Je prends la position du cafard écrasé (sur le ventre, bras droit
pendouillant, tête sous l'oreiller, tête tournée à droite). Je suis en
respiration consciente, je m'endors. Apparition de « visions », des meubles,
en noir et blanc grisâtre. Apparitions de sons, mais avec pas mal de ratés
(impossible de les contrôler). Je me dis que décidément il est bizarre que
Flo aie ces visions en couleur. Je tente de sortir de mon corps, mais je
n'arrive qu'à me réveiller à moitié. Je me rendors, retente de sortir, mais
me rendors pour de bon.
Etat intermédiaire 2.
Plus tard dans la nuit [avant 3h12], je suis toujours dans la même position
du cafard écrasé. Cette fois, j'essaye de bouger mes bras avant de sortir,
et ça marche. Je me retrouve alors dans l'état intermédiaire, dans mon
ex-chambre chez mes parents à Troyes (alors que je dors chez moi, à Antony).
Je me rappelle qu'il y a JP dans ma chambre [dans la réalité, c'est faux].
Je lui parle, il me dit de ne pas m'inquiéter, qu'il contrôle la situation.
Je décide d'aller faire un tour dehors, je sors par la porte, mais il fait
tout noir partout. Je cours assez longtemps (j'aime bien me sentir bouger),
puis je m'aperçois qu'en fait je suis enfermé dans un sac. Il y a un
tac-tac-tac permanent qui tape dessus, comme de la pluie. J'essaye de percer
le sac pour sortir de là, et j'y arrive.
Rêve lucide 1.
Je sors de mon sac. Je suis en face de chez moi, à Troyes. Dehors, c'est le
déluge : il pleut à verse, y'a 30 cm d'eau par terre, comme à la télé. Je me
dis que c'est beau, le déluge, et je cours sous la pluie, heureux. Y'a aussi
beaucoup de tonnerre.
J'en ai marre de la pluie, et j'essaye de faire apparaître le soleil (jusque
là, il faisait jour mais très sombre, comme lors de jours d'orage). Le ciel
se dégage alors soudainement complètement, et le grand soleil apparaît. Je
me dis que c'est mieux comme ça, quand même. Je reprends ma course, mais 10
mètres plus loin, il pleut toujours des cordes. Je réfléchis, et me dis que
c'est tout à fait normal : le soleil que j'ai fait apparaître ne peut être
que local. Là, vision d'un vaisseau extra-terrestre (ceux qui ont provoqué
le cataclysme) où les ingénieurs se disent que c'est impossible, que le
soleil ne peut pas apparaître localement, que la courbure de la Terre est
trop faible,... Réveil. Griffoné une dizaine de mots dans le noir à 3h12.
Rêve lucide 2 (un autre, après le réveil de 3h12, dans la nuit).
Je sors encore de chez mes parents [y'a eu un état intermédiaire, mais pas
noté sur le coup...], et me retrouve au grand jour dehors. La pelouse devant
est toute verte, y'a pas de voiture, y'a pas de gens, c'est extrêmement
beau. D'ailleurs, je m'exclame : « Argh ! Qu'est-ce que c'est beau ! ». Tout
autour de moi n'est que beauté, et je me perds vite en contemplation.
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Des rêves polio-lucides, avec tout de même l'histoire du sac qui ne m'était
pas arrivée depuis longtemps. Le contraste entre le déluge du RL1 et le
super beau temps que je trouvais tous les deux très beau est assez rigolo,
et finalement positif. Et puis il n'y avait personne dans aucun des RLs,
mais JP dans l'état intermédiaire (c'est la première fois). Il avait un rôle
« d'opérateur », il était censé me maintenir en contact avec la réalité.
C'est raté.

Nuit du 26/04/01 au 27/04/01. Dernier cycle. Rappel : excellent. Couché vers
11h30, réveil vers 7h. PB.
Etat intermédiaire 1
M'étant complètement réveillé, je tente de me rendormir. Je me dis que je
pourrais tenter de sortir de mon corps, vu que je me sens super reposé. Mais
je ne me sens pas du tout endormi, alors j'essaye même pas. Je me souviens
de mon dernier rêve, où des méchants m'avaient enfermé, et j'imagine qu'ils
sont encore là, dans ma chambre. Je finis par marcher autour de mon lit [me
suis endormi sans m'en rendre compte, rêve lucide hypnagogique, aucune
image, tout est noir, que des sensations kinésthésiques]. Les gens sont
encore là, et j'essaye de leur échapper. J'ouvre la porte de ma chambre,
puis celle de la salle de bain, et saute par la fenêtre [toujours pas
d'image, un « rêve » purement kinésthésique. Postérieurement, je me rends
compte que c'était l'état intermédiaire]. Je me sens tomber, et vu que j'ai
sauté la tête la première, je vais me scratcher la gueule et ça va faire
mal. Je fais donc un p'tit salto, et atteris en douceur [kinésthésiquement
très joli :-)]. Je sens les gens qui me suivent, et je sais qu'il faut que
je me barre en vitesse. J'aperçois [pas avec mes yeux] à une centaine de
mètres un portail de ville [c'est un truc dans Diablo II qui permet de se
télétransporter], m'y rue, et l'utilise. J'apparaît alors dans un centre
ville.

Rêve lucide 1
[L'image est apparue d'un coup, tout en couleur, à partir de là c'est un
vrai rêve. Petite variante du classique saut par la fenêtre]
Cool, je suis dans un rêve lucide, je vais pouvoir en profiter pour faire
quelques expériences. On va essayer le transfert de conscience [Alleluia
!!!]. Je me dirige vers un centre commercial où j'aperçois plein de gens. Je
choisis une pétasse [à l'état de veille, me suis demandé ce que ça qu'un
transfert de conscience dans une telle créature donnerait] qui passe.
« Bonjour ! Un p'tit transfert de conscience ?
- Euh... C'est quoi ?
- Tu vas voir c'est rigolo, on se colle front à front, et on imagine ce que
ressent l'autre.
- Bah c'est que mon copain, il sera p'tet pas d'accord, et pis tu vas en
profiter...
- Mais non mais non... »
Je m'approche, colle mon front contre le sien [toujours en pleine rue,
debout], et effectivement j'en profite [très intimes ces transferts de
conscience]. Là, rien. Soit c'est elle qu'a le cerveau vide, soit je m'y
prends mal.
« Qu'est-ce tu fais à ma copine, toi, oh ? »
Y'a un grand black, environ 2m30, super baraqué, qui m'a pris par l'épaule
[aucun choc lors de la séparation des fronts].
« Je faisais juste un transfert de conscience avec ta copine...
- C'est quoi ça ?
- On est censé découvrir la perception qu'à l'autre personne de son monde.
Je peux te montrer si tu veux ?
- Ah bah oui, pourquoi pas. »
J'essaye donc d'atteindre son front, mais il est très grand. Il se baisse
donc, et on se colle [mais j'en profite pas]. Là, contrairement à avec sa
copine, il y a tout de suite disparition du monde visuel. J'ai l'impression
de grandir physiquement, et je perçois les autres comme étant beaucoup plus
petit. [Je les sentais de la façon dont je sens les objets à l'état de
veille. Et personnellement, je ne ressens pas du tout les gens comme ça
(sauf les enfants)] Par contre, paradoxalement, je me sens moi-même beaucoup
plus petit, mais pas physiquement [difficile à expliquer]. J'entends le mec
parler, et la vue revient automatiquement. Nos fronts se séparent.
« P'tain ! T'es qui toi ?, qu'il dit.
- Euh... Un genre de Superman, si tu veux.
- C'est pas possible, il existe pas..., que dit sa copine.
- Oui, mais là on est en train de rêver, donc il peut exister. Et qu'est-ce
que tu as vu ?, que je demande au mec.
- Ben je me sentais beaucoup plus petit, mais beaucoup plus puissant.
C'était bizarre. [Il a pas employé exactement ces mots-là, mais c'est le
sens qu'il a voulu donner].
- C'est pas possible, tu peux pas être Superman, dit sa copine.
- Mais si, regarde... »
Je marche jusqu'à une voiture qu'un gars allait ouvrir, la soulève d'une
main lui faisant faire un tonneau.
« Ouah ! Mais le pauvre monsieur..., » que dit encore la pétasse.
Je la remets alors [la voiture] en place télékinésiquement d'un geste de la
main. Réveil.

Commentaires
Un rêve polio-lucide, dont la seule particularité est un essai (réussie ?)
de transfert de conscience. La sensation que j'avais des autres quand
j'avais la conscience du copain de la pétasse était assez bizarre.
D'habitude, je sens plutôt les gens comme étant « au même niveau » que moi
(et pas, comme il l'a dit, plus grands).
Le rêve hypnagogique kinésthésique fait dans l'état intermédiaire est
caractéristique des rêves que je fais les matins de grasses matinées, car je
pars alors presque de l'état de veille.